Le Collimateur décortique aujourd’hui sur une notion devenue omniprésente pour décrire notamment la guerre en Ukraine : la « transparence » du champ de bataille, ses ressorts et ses limites, avec les officiers de l’armée de Terre et chercheurs Pierre Néron-Bancel et Guillaume Garnier, auteurs d’une étude de l’Institut Français des Relations Internationales (IFRI) sur le sujet.
Sep 10
Alexandre Jubelin, Pierre Néron-Bancel et Guillaume Garnier
Pierre Néron-Bancel est officier de l’armée de Terre inséré au sein du LRD du Centre des études de sécurité de l’IFRI, où ses travaux portent sur les enjeux sécuritaires et stratégiques français et plus spécifiquement, sur l’étude des nouvelles conflictualités, l’évolution des formes de l’engagement aéroterrestre et les enjeux stratégiques de l’emploi des forces terrestres.
Guillaume Garnier est chercheur associé au Centre d’Etudes de Sécurité de l’IFRI. Il a été officier inséré au sein du Laboratoire de recherche sur la défense (LRD) au sein de ce centre de 2012 à 2014. Jusqu’à récemment officier supérieur de l’armée de Terre, il a débuté sa carrière dans le génie-légion.
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